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La chèvre de M. Seguin
Publié le 9 février
Je me souviens qu’on avait réussi à s’extirper du lit tôt le matin pour grimper à la Croix de Provence avant la chaleur (et en été, il est interdit de se trouver dans le massif après une certaine heure de la matinée).
Je suis toujours un peu lourdaud en montagne, surtout au démarrage et avec un appareil photo. Mais la Sainte-Victoire, c’est sa montagne ; elle s’y trouvait heureuse et agile comme la petite chèvre de M. Seguin (sans la barbiche de sous-officier).